jeudi 21 février 2013

Gambettes frileuses, voici de quoi vous réchauffer



 J'ai la chance de recevoir trois mois d'abonnement gratuits à la Gambettes Box de la part de My Little Paris. J'ai donc reçu ma première box un peu en retard la semaine dernière. Comme promis, deux collants de saison, un fantaisie et un noir. Le noir est basique, chaud et épais, classique. Le fantaisie est, ce mois-ci, un collant gris à chevrons. Lui aussi est assez chaud, bien que j'aie connu des collants de meilleure qualité, tant que ceux-ci sont chauds et beaux, ça me plaît ! Donc je suis satisfaite, le collant noir m'est plus utile que je ne le croyais, je me suis en effet rendue compte que je n'en avais pas d'épais ... Donc merci Gambettes Box !

 Pour info, de nombreuses abonnées se demandent si la boîte peut rentrer dans la boîte aux lettres, et OUI ! La boîte est toute fine et est en parfait état. J'attends avec impatience la prochaine box, mais je ne pense pas pour autant m'abonner, car je suis déjà abonnée à la My Little Box (et mine de rien ça fait cher tout ça), et je préfère choisir mes collants en fonction de mes robes et jupes, au fur et à mesure. L'idée est vraiment bien, les box autres que les box beauté, ça fait toujours plaisir. Bientôt une box chaussettes ? ;) 


Le nœud de la Little Box de Janvier enfin utilisé !

dimanche 10 février 2013

My Little Coquine Box

"Every woman needs a man that will ruin their lipstick and not their mascara."



 En rentrant cet après-midi après une journée de cours qui m'a semblé ne jamais finir, j'ai failli ne pas remarquer le colis qui attendait sur mon bureau. Bien installée sur mon lit, j'ouvre alors ce petit cadeau qui illumine ma journée. C'est une box coquine que je reçois ce mois-ci, plus tôt que prévu. La St-Valentin approche, et l'on commence à se préparer pour l'occasion ... 


 La première nouveauté de cette box est le magazine. On s'était habituées à recevoir un My Little Book, mais maintenant on recevra le magazine "My Little World", qui regroupe des bons plans de My Little Paris et de blogueuses du monde entier. On a donc des bons plans tout autour du monde, après il faut voyager. J'ai bien aimé la recette de St-Valentin que je testerai bientôt ...

 Voici maintenant la deuxième nouveauté de la box ... tadadam ... Une petite culotte ! Et sur l'étiquette, on peut lire "My Little Panty"... D'autres surprises comme celle-ci sont-elles attendues pour les prochaines box ? Nous verrons bien le mois prochain. Je vous laisse regarder et je vous donne mon avis ensuite !




 Noire, en tulle à pois, et deux petits rubans sur les côtés à détacher ... La forme n'est pas celle que je préfère mais c'est déjà super d'avoir mis de la lingerie dans la box !


 Continuons les découvertes avec une idée originale, des étiquettes thermo-collantes à coller dans les chemises de nos mecs. Donc, mon avis, c'est que quand on a un mec sérieux, c'est sympa, mais pour un amant passager, c'est pas forcément la chose que je ferais en trouvant sa chemise. Donc le "Restons amis" ne me servira pas je crois. Après, on peut y trouver d'autres utilisations, comme par exemple les coller sur des petites pochettes ! (bon, ou autre part, hein !)


 Les produits de beauté, maintenant. J'ai été assez déçue en découvrant mon beurre corporel The Body Shop au chocolat, surtout en apprenant que certaines avait eu le même à la fraise. En effet, j'avais déjà eu la même senteur en baume à lèvres et j'avais trouvé l'odeur bien différente de celle du chocolat.. Bon, après peut-être que je dois juste m'y habituer ! Il hydrate très bien, en tout cas, donc je l'utiliserai tout le temps !


 Et enfin, le deuxième produit de la gamme My Little Beauty : un gommage au miel pour le corps. Je ne l'ai pas encore testé, mais dès ce soir ce sera fait. Je vous en dirai des nouvelles ! Il sent bon le miel et je m'attends à ce qu'il soit super, vu la qualité de la crème pour les mains de janvier. Elle sent bon et hydrate bien ! Donc c'est un bon point pour My Little Box !

 Voilà ! La box ne débordait pas de produits et accessoires ce mois-ci, mais j'apprécie le travail qu'ils font en ce moment sur les nouveautés. Le concept lifestyle, les accessoires variés, la gamme de produits de beauté et le nouveau magazine. Je pense que pour les insatisfaites, il faut soit changer de box, soit attendre que l'équipe soit au point sur tout.

jeudi 7 février 2013

Un bonnet bleu

J'ai ce bonnet bleu, que je met dès que le vent se lève. Il me vient d'Écosse, où j'ai passé mon dernier voyage en famille. Étant au meilleur endroit pour trouver cachemire et laine en tous genres, alors qu'on était en plein mois d'août, ma mère m'a acheté ce bonnet. En cachemire bleu, donc, tout doux, tout chaud. Un petit souvenir de ce voyage en Écosse. Ce qui tombe bien, c'est que pour le Noël d'après, on m'a offert cette écharpe, bleue aussi. Et voilà. J'ai un ensemble bonnet-écharpe bleu. J'en ai aussi un plus récent, bordeaux cette fois. Vous aurez sûrement l'occasion de le rencontrer prochainement ! 
 Cet article est aussi un des rares (voire un des seuls ?) où je poste une photo de moi. Comme ça, vous voyez un peu qui je suis, et puis vous pouvez mettre un visage sur les mots. 



 J'en profite pour vous faire part de la naissance de mon Tumblr que j'ai créé pour avoir un espace où partager mes photos et les accompagner de musiques. Vous pouvez le visiter ici.


Vous en voulez plus ? Retrouvez-moi sur Pinterest (paulinedess), sur sur Twitter (@popiwonderland) et sur la page Facebook.

lundi 4 février 2013

Cache-cache avec les animaux

Les animaux sont là, partout dans la nature autour de nous. On les entend, on devine leur cachette, mais ils se cachent aisément parmi feuillages et fleurs.
 Mais parfois en observant avec attention on peut les trouver et les capturer (avec l'appareil photo bien sûr).



 J'ai entendu le chant d'un oiseau, qui se moquait de moi, qui le cherchait sans jamais l'approcher, mais j'ai fini par le trouver ce petit merle !




 En prenant des photos au parc à côté de chez moi, où il n'est pas rare de croiser des écureuils, je suis tombée sur deux petits rouquins qui se faisaient poursuivre par un chien affolé. En quelques secondes ils étaient en haut des arbres, à voler de branche en branche dans le viseur de mon appareil. 




samedi 2 février 2013

Grand Palais : Edward Hopper sous les projecteurs

Couverture de l'album de l'exposition
 Hier soir commençait le marathon Hopper au Grand Palais. L'évènement a toute son importance car à son lancement, personne ne s'attendait à un tel flot de visiteurs, prêts à faire la queue quatre heures dans le froid, sous la neige ou la pluie. Les places se sont envolées dès le début de leur mise en vente, et j'ai réussi à en avoir pour hier soir, de justesse, puisque l'exposition a été rallongée exceptionnellement et qu'elle se termine maintenant le 3 février, soit demain. Même avec des places réservées pour 19h30, nous avons fait la queue pendant trois quarts d'heure avant de pouvoir rentrer (ce qui est court !) Heureusement, nous avons eu une petite distraction puisque BFM TV m'a interrogée pour leur reportage sur ce marathon.
 À l'intérieur comme à l'extérieur, il y avait foule. Ce qui est assez dommage, car au début de l'exposition les tableaux sont assez petits, et surtout dans la salle des gravures où les visiteurs rasent les murs. Je pense que vous comme moi, détestez devoir attendre derrière une masse de gens de pouvoir regarder les œuvres, mais également devoir se dépêcher. J'étais déçue de ne pas pouvoir apprécier les tableaux correctement, mais au moins j'ai pu rentrer !

 Donc, une fois à l'intérieur, un circuit zigzagant de pièces en pièces nous attend, et l'on commence par découvrir les premières œuvres de Hopper aux côtés de tableaux de Degas et autres peintres, entrelacés de textes explicatifs de la vie de l'artiste, ses séjours à Paris et autres anecdotes. Une bonne initiative, car cela permet d'en savoir plus sur lui, sur ce qui l'a poussé à peindre et d'où lui vient son style particulier.
 Puis l'on commence à rentrer vraiment dans le sujet en s'asseyant devant le diaporama de ses illustrations et couvertures de magazines comme Hotel Management.

Couvertures pour Hotel Management

 Au fur et à mesure, on avance vers ses œuvres les plus connues, toujours accompagnées de travaux d'autres peintres comme Charles Burchfield, dont j'ai longuement regardé ce tableau :

Orion and the Moon - Charles Burchfield
 Bien plus beau en vrai, les nuances de gris qui le composent et le style du dessin, un peu enfantin mais à la fois angoissant, ainsi que la lueur des étoiles et de la Lune, m'ont intriguée et impressionnée. 

 Et plus on avance, moins il y a de monde, les tableaux s'espacent et s'imposent, et l'on ressent de plus en plus un étrange sentiment de solitude que l'on retrouve dans la plupart des œuvres de Hopper. 

Source : l'Express
 Mon père, artiste et dans l'âme et dans son métier, me dit que le peintre a l'air d'être enfermé dans sa bulle. En effet, ses tableaux, s'ils pouvaient parler, resteraient silencieux. Ils parlent à travers les couleurs, la représentation de la lumière, l'attitude des personnages, eux aussi, silencieux. Beaucoup de tableaux représentent des femmes seules dans une chambre, tête baissée, souvent dénudées ou en fine robe. 

Morning Sun
Summertime
 Je me suis retrouvée dans ses tableaux. Cela me rappelle les moments où je m'arrête et je regarde au loin, par la fenêtre, dans le vide. Sans forcément penser, je regarde, je respire. Et cela m'arrive souvent, de mettre la vie sur "pause", et de juste être là et ressentir le monde. Dans ces œuvres on retrouve des moments suspendus et des paysages très vastes et étendus, ainsi que des espaces vides (Sun in an Empty Room). Les personnages, impassibles, ne sont pas dans l'action, mais je trouve qu'ils font réellement partie du tableau et de l'espace représenté, en cohésion avec le monde qui les entoure. 

 On remarquera aussi que les couleurs des tableaux de Hopper sont tout simplement superbes, intenses. On s'arrête aussi pour prendre le temps d'identifier chaque tonalité de couleur et leur application sur la toile. Des tons pastels aux nuances éclatantes, la couleur a son importance.

Sun in an Empty Room

Voie ferrée au coucher du soleil
 Quand je suis arrivée devant Sun in an Empty Room, j'ai été assez surprise. Une pièce vide, une fenêtre, pas de meubles et juste la lumière. Je n'ai rien dit, rien pensé. Dernière œuvre de l'exposition, celle-ci nous laisse perplexe et renforce ce sentiment de bulle, cet état de contemplation dont je parlais plus haut. On ne peut qu'admirer la représentation de la lumière et le maniement des teintes de jaune.

 Au beau milieu de la dernière salle, je remarque soudainement quelque chose : le bleu est toujours présent dans les tableaux colorés du peintre. Son auto-portrait, dans lequel il porte une chemise bleue, m'a frappé.

Self portrait
 Le bleu est présent, toujours, en petites notes ou en reflets, ou alors dans la totalité du tableau (Ground Swell). Symbole de solitude, de mélancolie et de paix, il invite à la spiritualité et l'évasion. Admirateur de Charles Baudelaire depuis son premier voyage à Paris, le peintre a l'air de se sentir proche de la pensée du poète. Moi-même admiratrice de Baudelaire, je comprend pourquoi les peintures d'Edward Hopper me bouleversent. Peut-être avons nous le même état d'esprit, après tout.

 Pour finir, ce tableau, Ground Swell, devant lequel je suis repassée à plusieurs reprises, admirant l'épaisseur de la peinture et les milliers de teintes de bleu et de vert. Superbe.

Ground Swell

 Note : L'exposition et les tableaux sont à voir en vrai. Les couleurs que l'on peut trouver sur Internet ou dans le catalogue de l'exposition sont complètement différentes de celles des tableaux.